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À quoi ça sert d’écrire…
Lorsque j’ai décidé d’écrire Les Fleurs du lac, certains ont été surpris, voire un peu mal à l’aise. Pourquoi écrire sur ce thème, l’excision ? Ce n’était ni « romantique », encore moins « glamour ». Parler de la souffrance. de traditions qui ne me concernent pas, qui ont lieu loin. Et puis, étais je vraiment concernée ? –…
6 Février, journée mondiale contre l’excision
Aujourd’hui encore, je veux redire mon soutien à toutes celles mais aussi à tous ceux qui luttent sans relâche contre cette calamité qu’est l’excision. Parce que oui, nous sommes TOUS concernés. Je pense aux petites filles qui auront encore à souffrir, à celles traumatisées à jamais dans leur corps et dans leur âme. Je m’émerveille…
De quoi ça parle ? Les Fleurs du lac
Ce roman est un peu « à part ». Je l’ai écrit pour rejoindre mes amies africaines (et pas seulement) qui luttent contre une tradition redoutable : l’excision. Ce roman, publié aux Éditions de La Rémanence, vous emportera en Éthiopie, sur les hauts plateaux. Vous rencontrerez Mebrat et son mari Yared, un couple résolument tourné vers l’avenir…
Un retour, éthiopien… Et beaucoup d’émotion.
J’ai lu les fleurs du lac d’une traite. Les souvenirs d’Éthiopie sont remontés avec beaucoup d’émotions. Notamment nos vacances à côté d’Harar sur les terres familiales où nous cultivions le café, le khat… 2 mois dans l’année dans les montagnes avec les paysans. Nous nous déplacions des heures à mulet pour arriver sur ce magnifique…
les Fleurs du lac en Casamance…
C’est avec énormément d’émotion que j’apprends que mon roman Les Fleurs du lac, est arrivé au lycée de Cabrousse en Casamance, au Sénégal. En effet, ce pays fait partie de ceux qui pratiquent encore l’excision, et ce, même si la pratique y est interdite depuis une vingtaine d’années. Certaines traditions sont difficiles à combattre. Ainsi,…
