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À propos de Les fleurs du lac…
Dans cet ouvrage,les Fleurs du Lac,ce qui a dominé pour moi, c’est une grande douceur,des bouffées d’émotion, car malgré l’atrocité de la tradition, et celles qui l’ont perpétuée, en étant elles-mêmes prisonnières de celle-ci, les fils conducteurs sont d’abord l’amour et la raison, qui changent peu à peu les mentalités.Mû par le courage étourdissant de…
6 Février, journée mondiale contre l’excision
Aujourd’hui encore, je veux redire mon soutien à toutes celles mais aussi à tous ceux qui luttent sans relâche contre cette calamité qu’est l’excision. Parce que oui, nous sommes TOUS concernés. Je pense aux petites filles qui auront encore à souffrir, à celles traumatisées à jamais dans leur corps et dans leur âme. Je m’émerveille…
Les Fleurs du lac et vous…
Raconter une telle déchirure avec autant de « poésie » et de respect de toutes les personnes quelles qu’elles soient.. chapeau bas j’ai en même temps voyagé. J’ai adoré votre bouquin et suis bien désolée de n’avoir pu venir vous rencontrer lors de votre visite au Havre. En attendant, continuons de soutenir ce long combat. **** Lorsque j’ai…
Le GAMS et Les Fleurs du lac
Quelle émotion, encore et toujours. Voici deux très belles photos prises à l’occasion de l’exposition à l’Atrium du 06 au 10 février 2023 Au Havre. Quatre étudiants de l’Ifen ont mis en valeur les femmes victimes de violences. Le photographe, Pierre Brechet, de Piya photography a mis en valeur ces belles personnes et leur combat…
De quoi ça parle ? Les Fleurs du lac
Ce roman est un peu « à part ». Je l’ai écrit pour rejoindre mes amies africaines (et pas seulement) qui luttent contre une tradition redoutable : l’excision. Ce roman, publié aux Éditions de La Rémanence, vous emportera en Éthiopie, sur les hauts plateaux. Vous rencontrerez Mebrat et son mari Yared, un couple résolument tourné vers l’avenir…
Un retour, éthiopien… Et beaucoup d’émotion.
J’ai lu les fleurs du lac d’une traite. Les souvenirs d’Éthiopie sont remontés avec beaucoup d’émotions. Notamment nos vacances à côté d’Harar sur les terres familiales où nous cultivions le café, le khat… 2 mois dans l’année dans les montagnes avec les paysans. Nous nous déplacions des heures à mulet pour arriver sur ce magnifique…
