Sculpture Marianne Monnoye-Termeer

Je viens de finir votre livre   » De vous à moi « .

J’ aimé votre livre simple, intime, profond, percutant, touchant, plein d’amour et de poésie.

 J’ai commencé « Les Fleurs du Lac » que je passerai à ma petite fille, Julia qui avait fait une étude à plusieurs en terminale, sur cette tradition barbare. Merci beaucoup et surtout continuez à écrire….. Afin d’entendre votre parole et de la donner aussi à ceux qui ont besoin d’être entendus et écoutés.

Merci Béatrice. Quelque part, ce livre vous est aussi dédié…

***

Parfois, c’est un livre qui donne envie de connaître un auteur, parfois c’est de connaître l’auteur qui donne envie de découvrir son livre. Christelle appartient à cette deuxième catégorie. Et je suis heureuse d’avoir suivi mon instinct. Son histoire est à l’image de la sculpture qui orne la couverture. Elle murmure les émotions sans les dire vraiment, parce que les mettre à vif les écorcherait. Son récit regorge d’amour, et c’est un amour qui fait du bien, car il porte vers l’avant et le changement. Peut-être pour escamoter les déchirures du présent. Il nous pousse à réfléchir pour trouver des solutions aux combats que doivent mener ceux qui vivent à côté de nous sans faire de bruit, alors qu’ils devraient hurler contre l’injustice. Ils préfèrent garder leur énergie pour avancer dans leur labyrinthe. Et pourtant… Plusieurs fois dans ces pages, la vérité sort de la bouche des enfants. Si notre expérience d’adulte nous dit comment faire les choses, il faudrait écouter plus souvent les silencieux pour savoir quelles choses méritent d’être accomplies.

Émilie Riger Collins, auteure

***

Il était une fois une petite fille qui fit trempette dans un encrier magique. Elle en ressortit, plume en verve et verbe affuté, imprégnée pour la vie. La lecture et l’écriture devinrent ses amies, les mots ses jouets.
La voici tenant un blog, écrivant une chronique, la voilà achevant un recueil de poèmes, un roman, en imaginant un autre. C’est également elle qui prête sa plume pour conter la vie des autres, car l’insaisissable Christelle sait prodiguer aide et attention, pour le plaisir du partage.
J’ai lu tous ses ouvrages, notamment son dernier roman « Une sonate et la dame de Fécamp », paru aux éditions de la Lieutenance. Un très bon moment d’humanité. Déjà.

Mais là, « De vous à moi », c’est différent, c’est autre chose ! Nous ne sommes plus dans le roman mais dans la vraie vie… Et celle-ci n’a pas toujours été clémente pour Christelle. Un petit garçon disparu très tôt, puis une « princesse baroque », une enfant « différente » comme on dit.
Comment écrire tout ça ? Exprimer l’indicible ? Sans plonger dans le pathos, sans verser dans les lamentations, sans manifester d’aigreur, sans donner de leçon, sans se plaindre…
Je ne sais pas comment Christelle Angano s’y est prise. Encore un de ses tours de magie, peut-être. Toujours est-il que, de petite touche en petite touche, de grains de mots en grains de mots, d’allusion en allusion, d’image en image, elle nous coupe le souffle par sa paisible puissance d’évocation. Pas de rancœur mais du cœur…
Du désespoir, quand il est décrit de manière lumineuse, peut jaillir des aurores.
Et, si l’auteure a versé des larmes, qu’elle sache qu’avec ce livre, aujourd’hui, elle n’est pas la seule. Mais ce sont autant des larmes de peine que de paix. Des larmes bienfaisantes.
Et nous nous rassemblerons sous la bannière de l’espoir sur laquelle Christelle Angano a écrit :
« Courage, vivons ! »

Henri Girard, auteur

***

J’ai résisté jusqu’à la page 100 !
Et puis les sentiments prennent le dessus, presque toujours! Non pas par empathie, non pas pas fierté non plus, ni par septième ts étranges sous l’effet des mots.
Résisté aux émotions parce que l enfant de la lune je l ai aussi dans ma vie….et qu’une princesse baroque j’en côtoie une dans mon quotidien d’AVS !
Submergée par les mots, parce qu’on croise un  » merci ».
Alors merci à vous, d avoir ce samedi matin gentiment offert votre livre à la mienne de maman, dans une boutique de Douvres.
Merci parce que vous venez en 100 pages de me donner la force de me battre pour que je puisse suivre le chemin qui je le pense est le mien: faire de mon métier si précaire aujourd’hui une vraie vocation et mon cheval de bataille. Je suis sure aujourd’hui  de devoir le battre pour l égalité des droits, et pour qu’enfin le regard universel change.

Sophie

Merci Sophie.

***

SI VOUS EN AVEZ L’OCCASION, JETEZ DEUX YEUX DANS CE LIVRE… Une famille cabossée mais courageuse, un livre édité loin de Paris et qui a peu de chance d’avoir sa place sur les médias… IL A BESOIN DE VOUS !!!

Gérard Collard

***

Il est relativement rare de ne pouvoir accepter de lâcher un livre car il nous prend , nous emmène dans son monde , sa douleur , ses sourires , son ciel , oui , son ciel étoilé… Et bien « De vous à moi  » m’a fascinée , hypnotisée ,et j’ai eu , l’espace d’un instant , la certitude d’être le « moi » …et je t’en , pardon , je « vous » remercie …

Maritxu

***

En revenant sur les temps forts qui marquent la vie des parents qui ont un enfant handicapé et par un mélange d’observations concrètes , « de vous à moi », nous livre des repères indispensables pour comprendre ,et pourquoi pas, agir.
le livre de Christelle est la description de sa vie,de ses combats quotidiens mais aussi de son indépendance farouche pour faire mentir les clichés et autres idées préconçues sur le handicap.
non sans humour , elle sonde plus avant, ses angoisses et ses joies dans cette parentalité «extra-ordinaire» .

Christian Mallarmé

***

Je viens de terminer la lecture de votre ouvrage « de vous à moi ».
Ce livre m’a beaucoup touché : vous exprimez fort bien , avec les mots justes , de que ressentent les parents d’enfants différents, et l’épreuve pluri quotidienne qui est … »d’affronter le regard des autres « .
Tout médecin devrait lire ce livre avant de commencer à exercer !

M Iselin, cardiologue