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De quoi ça parle ? Une Lumière dans la nuit
Le 5 juin 1944, des parachutistes anglais censés être largués au-dessus de Merville-Franceville se retrouvent à 35 km de là, près de Barneville-la-Bertran, au sud d’Honfleur. Une poignée de civils leur porte secours. Le 18 juin 1944, tous sont arrêtés et déportés. Clara, mon arrière-grand-mère, était l’une de ces personnes. J’ai voulu retracer son parcours pour lui rendre hommage, et pour rappeler à nos souvenirs tous ces anonymes bas-normands qui ont oeuvré, au péril de leur vie, pour que nos enfants puissent connaître la liberté. Il me fallait écrire et raconter leur histoire. Parce que la mémoire est essentielle pour préserver la paix et pour que, plus jamais, ne s’éteigne la lumière.

L’harmonica le trombone et le parapluie, préface
Un roman qui inclut deux instruments de musique et un objet surréaliste dans son titre, çane peut que mettre en confiance.On ouvre, on commence à lire pour tomber bientôt sur ceci : « première partie : MoonlightSerenade ». D’emblée un des grands titres de la swing era, la dame qui écrit est décidémentfréquentable !Je ne tarde pas à apprendre qu’elle…

Le Jour J
Enfin ! J’ai le plaisir de vous annoncer ma rencontre avec mon roman ! C’est toujours un moment émouvant. Comme toute première rencontre, quand on sait qu’elle est importante. Une émotion, teintée d’un peu de nostalgie. Nos chemins vont se séparer, comme autant de lignes de vie. Ces personnages que j’ai imaginés, et finalement créés,…

le retour de lecture de Denis Brillet
« L’harmonica, le trombone et le parapluie » Christelle Angano, éditions In Octavo. 15 décembre 1994. L’histoire pourrait commencer à cette date, par une froide journée d’hiver au cœur d’Étretat et sous les traits d’un vieil Anglais excentrique, Peter Gordon, échu au bord de la Manche, les images de son passé au fond des yeux. L’histoire pourrait,…

L’harmonica le trombone et le parapluie, extraits
Nous étions en pleine guerre, les bombardements étaient réguliers et le Débarquement se faisait attendre. Nous n’en pouvions plus de cette tuerie. Nous étions jeunes et avions envie de vivre et de nous amuser. Et puis, nous avions peur, aussi. Fin mai, on m’appela enfin. Je devais me préparer, rejoindre la base de Broadwell à…