Un moment… suspendu

Il y a des moments dont on sait que l’on se souviendra, longtemps. Des moments privilégiés, apaisés, hors du temps. Des moment suspendus. Ce matin, nous avons vécu un tel moment, à la médiathèque de Colleville-Montgomery.

Merci à toi, Pauline, d’avoir mis en musique ces extraits. Jamais Julie Anne ne m’a semblé aussi proche.

Merci à toi, Véronique d’avoir chanté Trenet pour elle.

Enfin, merci à toi, Denis de t’être prêté au jeu.

Et puis, bien sûr, merci à toutes celles et ceux qui sont venus partager cet instant avec nous. C’était beau de vous voir écouter, parfois les yeux fermés. Que serait un texte sans ses lecteurs ? Vous avez donné vie à Julie Anne, et de cela, je vous sais gré.

Pour finir, je pense à mon papa, le sculpteur Petrus, à qui ce roman est dédié. J’aime l’idée que ses sculptures sont pour toujours dans mon roman, et dans mon poème Farandole.

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