avant de partir en vacances… Le temps est venu de faire une pause. Quelques jours pour souffler. Mais avant tout, cette phrase magnifique de Victor Hugo : C’est par la fraternité qu’on sauve la liberté. Elle symbolise, à mes yeux, tout ce que nous venons de traverser. Ensuite, quelques projets en cours : Une version…
Ce récit historique, à travers des parcours personnels bousculés par la grande Histoire, vous étreint jusqu’à la moelle. Ne nous leurrons pas, ce texte est particulièrement poignant et d une profonde humanité. Il saura vous tirer quelques larmes comme ce fut, avouons le, mon cas. C’est l’histoire de Peter Gordon et de trois générations de…
se termine. J’en garderai un souvenir empreint d’émotions. Que de rencontres, d’échanges, de partages aussi ! Vous êtes nombreux à avoir accueilli L’harmonica le trombone et le parapluie. et je vous en remercie. Pennedepie, Étretat, Caen, Sainte Mère Église… Des lieux qui ne sont pas anodins, chargés d’histoire(s) et d’émotions. Et des lieux plus « confidentiels »…
Cela va faire deux mois que L’harmonica le trombone et le parapluie a commencé sa vie de roman… Et je voudrais vous remercier pour l’accueil que vous lui avez réservé, que vous continuez de lui réserver. Depuis ma première dédicace aux Trésors d’Arsène, à Étretat, les rencontres se multiplient pour mon plus grand plaisir. Et…
Chère Clara, Il y a 80 ans, on venait t’arrêter. Il était tôt, l’été approchait avec la fin de la guerre. On est venu te chercher, sur dénonciation. Depuis quelques années, je raconte ce que je sais de ton histoire. Je t’ai même réinventée sous les traits d’Emily, l’Anglaise de L’Harmonica le trombone et le…
Quand on me demande de participer au « devoir de mémoire », ça donne ça. Merci de m’avoir invitée. C’était une grande fierté pour moi de participer à cet événement, au-delà de toute « promotion » littéraire, une fois encore, parler de Clara. Clara, arrêtée le 18 juin 1944… Aujourd’hui, pour « boucler la boucle », je serai au Musée du…
Nous étions en pleine guerre, les bombardements étaient réguliers et le Débarquement se faisait attendre. Nous n’en pouvions plus de cette tuerie. Nous étions jeunes et avions envie de vivre et de nous amuser. Et puis, nous avions peur, aussi. Fin mai, on m’appela enfin. Je devais me préparer, rejoindre la base de Broadwell à…
