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Un weekend à Étretat
Encore un joli moment de partage à la librairie Les trésors d’Arsène. En face de la librairie, l’hôtel Le Detective. J’avais à cœur de présenter mon roman aux propriétaires car c’est leur hôtel qui m’a inspiré L’hôtel de l’Aiguille, tenu par Colette et Léo, pied-à-terre de Peter Gordon. Regardez, il y a même des parapluies…
Vos retours de lecture, pourquoi sont-ils si importants ?
S’il est vrai que l’écriture d’un livre est un travail « solitaire », il ne faut pas oublier que c’est vous lecteurs, lectrices, qui donnez vie à nos personnages. Que seraient nos livres sans votre regard ? Que seraient nos personnages si vous n’étiez pas là ? Comment vivraient ils sans votre imagination, votre sensibilité, votre vécu…
Peter Gordon, à Douvres la Délivrande. L’harmonica le trombone et le parapluie, extrait.
Il avait découvert la petite ville de Douvres la Délivrande, sur la Côte de nacre. À cette époque, il recherchait la sépulture d’un copain d’enfance avec lequel il avait grandi à l’orphelinat et qu’il avait perdu au début de la guerre. Il avait fini par apprendre que ce dernier était tombé dans cette petite ville…
« L’harmonica, le trombone et le parapluie » se dévoile.
Je me décide à dévoiler la couverture de « L’harmonica, le trombone et le parapluie », mon quatrième roman. Il paraitra dans trois mois, avec le printemps, aux Éditions In Octavo, que je remercie pour la confiance renouvelée. Et me voilà impatiente comme une gamine : ça fait combien de dodos ? À vrai dire, je suis…