Chère Clara…
Depuis toutes ces années, j’ai l’impression de t’avoir enfin rencontrée. Il m’aura fallu ces trois ouvrages pour avoir ce sentiment d’apaisement, celui d’avoir rempli ma « mission » d’arrière-petite fille : t’avoir rendu hommage. Tu me sembles si familière maintenant. Toi et François, mon grand-oncle, disparu si jeune. Il avait l’âge de Léo. Et Léo lui ressemble….
Et quand fanent les roses…
C’est encore un bien beau roman que nous propose Karine Langlois. D’abord le titre : très beau, très poétique. Comme une invitation à la poésie, à la douceur… avec un soupçon de nostalgie, de mélancolie. je ne parlerai pas de l’histoire, de peur de la « déflorer ». En ce qui me concerne, comme je le fais…
Des coquelicots pour Clara
Il y a quelques années, j’ai publié Hommage à Clara / in tribute to Clara. J’avais eu l’honneur de le dédicacer à la batterie de Merville, le 6 juin 2014, devant la plaque commémorative de la casemate n°2. Publié à l’époque à compte d’auteure avec une maison d’édition associative, qui n’existe plus, cela fait bien…
Lundi 3 juin… à Pennedepie
Quand on m’a contactée il y a quelques semaines pour envisager une journée consacrée à Clara, j’ai bien sûr accepté. Aujourd’hui, je découvre cette affiche et l’émotion est intense. Merci à Agathe Letellier pour cette invitation, et à toute l’équipe du manoir d’Apreval. Un banc du souvenir en hommage à Clara… Sa mémoire va perdurer….
Vos retours de lecture, pourquoi sont-ils si importants ?
S’il est vrai que l’écriture d’un livre est un travail « solitaire », il ne faut pas oublier que c’est vous lecteurs, lectrices, qui donnez vie à nos personnages. Que seraient nos livres sans votre regard ? Que seraient nos personnages si vous n’étiez pas là ? Comment vivraient ils sans votre imagination, votre sensibilité, votre vécu…
Peter Gordon, à Douvres la Délivrande. L’harmonica le trombone et le parapluie, extrait.
Il avait découvert la petite ville de Douvres la Délivrande, sur la Côte de nacre. À cette époque, il recherchait la sépulture d’un copain d’enfance avec lequel il avait grandi à l’orphelinat et qu’il avait perdu au début de la guerre. Il avait fini par apprendre que ce dernier était tombé dans cette petite ville…
Rémanence et In Octavo
Joséphine Baker chantait « j’ai deux amours, mon pays et Paris »… En ce qui me concerne, j’ai deux maisons d’éditions qui m’accueillent : les Éditions de La Rémanence et In Octavo, et deux éditrices. Aujourd’hui, je découvre un article de La Rémanence et de Mathilde Palfroy qui présente et annonce la publication de mon roman chez…