
Publications similaires

L’harmonica le trombone et le parapluie sont (est) à Étretat
Retour de weekend, et « lancement » de L’harmonica le trombone et le parapluie, à Étretat. Merci 1000 fois à Thierry Maison pour son accueil à la la librairie « Les trésors d’Arsène ». Merci à Évelyne la correspondante du Courrier cauchois, pour ses visites et ses articles. Merci à mon mari qui a pris des photos dans Étretat,…

De quoi ça parle ? Une Lumière dans la nuit
Le 5 juin 1944, des parachutistes anglais censés être largués au-dessus de Merville-Franceville se retrouvent à 35 km de là, près de Barneville-la-Bertran, au sud d’Honfleur. Une poignée de civils leur porte secours. Le 18 juin 1944, tous sont arrêtés et déportés. Clara, mon arrière-grand-mère, était l’une de ces personnes. J’ai voulu retracer son parcours pour lui rendre hommage, et pour rappeler à nos souvenirs tous ces anonymes bas-normands qui ont oeuvré, au péril de leur vie, pour que nos enfants puissent connaître la liberté. Il me fallait écrire et raconter leur histoire. Parce que la mémoire est essentielle pour préserver la paix et pour que, plus jamais, ne s’éteigne la lumière.

Un weekend à Étretat
Encore un joli moment de partage à la librairie Les trésors d’Arsène. En face de la librairie, l’hôtel Le Detective. J’avais à cœur de présenter mon roman aux propriétaires car c’est leur hôtel qui m’a inspiré L’hôtel de l’Aiguille, tenu par Colette et Léo, pied-à-terre de Peter Gordon. Regardez, il y a même des parapluies…

Peter Gordon, à Douvres la Délivrande. L’harmonica le trombone et le parapluie, extrait.
Il avait découvert la petite ville de Douvres la Délivrande, sur la Côte de nacre. À cette époque, il recherchait la sépulture d’un copain d’enfance avec lequel il avait grandi à l’orphelinat et qu’il avait perdu au début de la guerre. Il avait fini par apprendre que ce dernier était tombé dans cette petite ville…