Kintsugi et partage
Encore un atelier d’une richesse incroyable. Partage et émotion étaient les maîtres mots de cet atelier un peu particulier. Un atelier sous le signe de l’inclusion.
Il réunissait Mélina, ma princesse baroque, Andréa, jeune fille aveugle, une ancienne élève qui m’a initiée au braille, et à qui j’avais promis un atelier, Émilie, mon amie AESH (anciennement AVS : auxiliaire de vie scolaire) et Brigitte, journaliste qui voulait écrire un article sur le kintsugi et à qui j’avais proposé de participer à un atelier. Toutes un peu « fêlées », nous avons parlé, un peu, de nos « fragilités » et avons réparé nos assiettes avec de la poudre d’or.
Mélina en a profité pour écrire son premier poème, un haïku.

Un atelier kintsugi / haïku, c’est la fierté d’Andréa qui est allée « au bout », celle de Mélina qui écrit son premier poème. C’est la bienveillance et le partage. C’est une leçon de vie, assurément
Un atelier particulier, inclusif et tellement utile.
Il y a quelques mois, j’avais animé un atelier avec des femmes blessées, victimes de violences. C’est leur âme qu’elles réparaient ; c’est en tout cas, ce qu’elles m’avaient dit. Aujourd’hui, plus que jamais, il fallait aimer les gens fêlés car ils laissent passer la lumière.
Alors, si vous aussi, vous avez envie d’essayer.
Contactez moi. D’autres ateliers à venir.